Ep. 102 THIERRY MALANDAIN
CHOrégraphe
malandain ballet biarritz

Crédits photo : Thierry Malandain par Frédéric Nery-Yocom

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Thierry Malandain, une vie de danse et de création

Thierry est à la tête depuis 23 ans du Centre Chorégraphique National de Biarritz : le Malandain Ballet Biarritz.
Dans cette conversation, Thierry partage sa vision de la création nourrie par 35 ans de projets.
Il y parle de sa famille de danseurs, de ses idéaux, du rôle de la musique, de ses moteurs mais aussi des difficultés d’être créateur.
Il se plonge dans l’histoire pour mieux maîtriser son héritage mais aussi pour mettre en lumière les oubliés de la danse.
Thierry vit entièrement pour la danse.
Et c’est tout naturellement qu’il va pouvoir la défendre désormais à l’Académie des Beaux-arts.

Dans cet épisode

Thierry nous parle de la danse comme échappatoire, de 35 ans de chorégraphie, de ce qui ruine l’âme : le corps « douloureux », de vivre pour la danse, d’idéal, de Jiri Kylian, de sa famille de danseurs, d’imposer son genre « néoclassique », de frustrations, des moteurs, de public, de musique, d’être sur terre pour quelque chose, des fêlures de l’artiste, de ses créations : Marie-Antoinette, Carmen, Cendrillon, l’Oiseau de feu, Un coin de Paradis, de trouver un espace pour soi dans chaque création, de son incapacité à parler de son ballet avant qu’il ne soit terminé, de Béjart, de Massine, de Balanchine, de Roland Petit, de trouver sa voie, de l’importance de l’histoire de la danse et des oubliés, de Mariquita, de la biennale Jules Massenet à Saint-Etienne, de sa nomination à l’Académie des Beaux-arts, de la danse enseignée à l’armée jusqu’à la 1ere guerre mondiale, d’Eugene Giraudet maître à danser, de la danse comme lien social, de Raphael Canet, que la danse retrouve sa place avec ses règles, d’éviter les rêves impossible, de Camille Saint-Saenz, de Beethoven, que la musique décide de tout et qu’il sort ce qu’il sort.

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