EP. 197 – ANNE-MARIE PORRAS, danse jazz et
ESPSEDANSE

Crédits Photo : ND (Anne-Marie Porras)

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« Le jazz est une façon d’être enraciné, d’être dans un plié qui est un lâcher-prise pour pouvoir mieux attaquer. » Anne-Marie Porras

Anne-Marie Porras est enseignante, chorégraphe et chercheuse de talents.
Elle a choisi le jazz pour la liberté. Après s’être formée auprès de Ingeborg Liptay, elle part à New York poursuivre son apprentissage auprès de Jojo Smith et de Fred Benjamin.
Sa technique vient des écoles Alvin Ailey, Martha Graham et Merce Cunningham mais aussi des danses primitives africaines. 
Anne-Marie pose ses valises à Montpellier, où elle fonde Epsedanse, la première école en France habilitée pour le Diplôme d’état Jazz dans les années 80.
On l’écoute avec joie.

Dans cet épisode,

Anne-Marie raconte les rencontres que permettent la danse, renifler la différence, la danse – sa respiration, son expérience avec les sourds muets et le vrai son de la danse, la parole du mouvement, la douleur qui parfois circule avec la danse, le mouvement des arbres, la nature qui danse, le jazz pour la liberté, Herns Duplan, la danse primitive, la danse africaine, Martha Graham et Merce Cunningham, le jazz choisi par son corps pour parler, Ingeborg Liptay, le bien-être total procuré par le mouvement, la danse qui passe par les pores, la danse comme espace qui permet toujours de découvrir quelque chose, prendre le temps de bien « cultiver », de relier la danse à la nature, Armand Amar, son voyage au New York où elle travaille avec Jojo Smith et Fred Benjamin, les danseuses de cabaret sur talons dans les années 70, l’impact de la danse contemporaine dans le jazz, le jazz qui est une façon d’être enraciné – dans un plié, le lâcher prise pour pouvoir mieux attaquer, la colonne vertébrale toujours fluide, la joie du jazz, chercher dans son corps ce qui vient naturellement, espedanse : les débuts de son école avec les amateurs et l’école qui se spécialise pour les pros, le DE jazz, la création – son terreau, l’absence de compagnies dans la danse jazz, sa rencontre avec Maurice Béjart, Kader Attou, Hervé Koubi, Fouad Boussouf, le besoin de confiance u danseur, l’écho que l’on donne à voir par les mots et le mouvement, les études à Aix en Provence sur le cerveau artistique, sa vie de danse, toujours.

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