EP. 2O6 – NINA VALLON, danseuse et chorégraphe
THE WORLD WAS ON FIRE

Crédits Photo : Mireille Huguet (The World was on Fire de Nina Vallon)

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« Nina, où que tu ailles, il faut que tu danses »

Nina Vallon, chorégraphe, vous propose de découvrir différemment sa pièce de groupe féministe « The world was on fire » dans un format sonore inédit pour Tous Danseurs.

Nina aime collecter des objets et assembler, dans de grands cahiers, des idées entrelacées de photos, de mots, de listes de musique à écouter pour guider sa créativité.

C’est tout ce dispositif qu’elle vous raconte.

« The World was on Fire « est à l’affiche du festival Everybody du Carreau du Temple, les 9 et 10 février.


Du 9 au 13 février, vivez pleinement l’expérience du festival Everybody.
Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Carreau du Temple.


Dans ce format, des extraits musicaux et notamment : The world was on fire interprété par Marine Colard, I’m a victim of this song (1995) de Pipilotti Rist.

Dans cet épisode,

Nina raconte les difficultés d’envisager la danse comme un métier, sa rencontre décisive au Brésil, le Ballet Junior de Genève, la formation Dance Accros Europe avec Jason Beechey, Angelin Preljocaj, William Forsythe, Wayne MacGregor, Frédéric Flamand, sa rencontre avec Thierry Demay, réalisateur et compositeur, qui lui a donné le goût pour la transposition des outils de composition musicale vers la chorégraphie, son premier contrat avec Bill Forsythe de 2008 à 2013, d’avoir du temps pour créer, la création de sa compagnie en 2019 – ASAP, la technique classique qu’elle chérie, les techniques d’improvisation comme outils d’écriture, sa construction avec la présence de la danse, la chorégraphie, la danse pour voir le monde, la danse comme pratique quotidienne et collective, qui crée un lien qui dépasse les mots – l’intelligible, la création en musique, les pans de rayon, l’équipe 100% féminine, la parité réparatrice, les personnages de la pièce (la sorcière, la liseuse, la listeuse, la conteuse, la tueuse), sa manière d’accompagner le processus de création ; le grand cahier de notes, les images, les livres à idées, les costumes, les mots, le rôle de la notatrice, le féminicide de son arrière grand-mère, le combat transgénérationnel, la résilience des femmes.

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