EP. 64 NAWAL LAGRAA AÏt benalla
danseuse et chorégraphe

Crédits photo : Dan Aucante

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Nawal Lagraa Aït Benalla, danseuse engagée

Nawal dirige depuis 2018 la compagnie la Baraka et La Chapelle Sainte Marie, un lieu nouveau pour la danse, aux côtés d’Abou Lagraa.
Elle danse pour dialoguer et construire des ponts culturels et elle crée par nécessité pour saisir l’instant et raconter la complexité de l’être humain.
Avec Nawal, on comprend pleinement la mission du danseur dans la société.

Dans cet épisode

Nawal nous parle de la Compagnie La Baraka, de la danse comme outil universel de communication, de sa grand-mère, de son coup de foudre total pour la danse, de la danse classique qui reste pour elle l’alphabet de la danse, du jazz, du contemporain et du yoga avec Peter Goss, d’être un danseur interprète, de Géraldine Armstrong, de Mat Mattox, du CND, de son besoin de cadre, de sa rencontre avec Abou Lagraa et de leurs valeurs communes d’humanité et de partage, de leur double culture, de son besoin de créer, de sa création « do you be », de la la dignité du danseur, de la création « Premier Pas », d’être un artiste citoyen, de fabriquer du travail, de Johana Maledon de la Compagnie Mâle, du rôle de La Chapelle Sainte Marie, de l’Adagio pour Cordes de Samuel Barber, d’Olivier Innocenti, de la liberté qui naît de la contrainte, de parler à tous, de déplacer la culture, de Casta diva de Vincenzo Bellini par Maria calas, de voir et revoir tout Pina Bausch, que la danse est sacrée et infinie.

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